Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) https://fncc.csn.qc.ca/ Thu, 12 Sep 2024 19:47:46 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7 Journée internationale de la démocratie: La FNCC-CSN rappelle l’importance des médias d’information https://fncc.csn.qc.ca/2024/09/14/journee-internationale-de-la-democratie-la-fncc-csn-rappelle-limportance-des-medias-dinformation/ Sat, 14 Sep 2024 11:00:46 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3422 Montréal, le 14 septembre 2024 – La Journée internationale de la démocratie est soulignée dans le monde entier le 15 septembre de chaque année. La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) profite de cette occasion pour insister sur l’importance de préserver les médias d’information, qui contribuent à une saine démocratie. Les médias sont grandement affaiblis […]

L’article Journée internationale de la démocratie: La FNCC-CSN rappelle l’importance des médias d’information est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>

Montréal, le 14 septembre 2024 – La Journée internationale de la démocratie est soulignée dans le monde entier le 15 septembre de chaque année. La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) profite de cette occasion pour insister sur l’importance de préserver les médias d’information, qui contribuent à une saine démocratie.

Les médias sont grandement affaiblis dans leur capacité à remplir leur mission, principalement ceux qui ont un mandat d’information. « Pourquoi ? En raison de l’effritement de leurs ressources vu la place de plus en plus grande prise par les géants du Web et l’accaparement des revenus publicitaires par ces derniers. On ne compte plus les réductions de personnel, les faillites et les fermetures. Pourtant, la circulation de l’information est essentielle à la démocratie et à la vitalité de nos communautés », déclare Annick Charette, présidente de la FNCC–CSN.

La présidente rappelle que l’indépendance des médias et le pluralisme de l’information sont deux éléments essentiels au respect du droit des citoyennes et des citoyens d’être informés adéquatement.

« Dans le contexte de l’érosion des salles de nouvelles que nous connaissons, que ce soit en télévision, à la radio ou en presse écrite et numérique, il faut renverser la tendance. Il n’y a pas de démocratie saine sans médias forts et il n’y a pas de contrepoids à la désinformation sans le labeur des travailleuses et travailleurs de l’information. Nos gouvernements ont un rôle à jouer. Nous avons lancé l’hiver dernier la campagne L’information, un bien public, qui propose des solutions structurantes. Les gouvernements peuvent facilement les mettre en œuvre », termine-t-elle.

-30-

 

À propos

La FNCC–CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

L’article Journée internationale de la démocratie: La FNCC-CSN rappelle l’importance des médias d’information est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Compressions chez RNC Média : l’employeur ne respecte pas la convention collective https://fncc.csn.qc.ca/2024/08/27/compressions-chez-rnc-media-lemployeur-ne-respecte-pas-la-convention-collective/ Tue, 27 Aug 2024 13:56:15 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3346 Le 22 août dernier, RNC Média annonçait la coupe de trois postes dans le secteur de la télévision à Rouyn-Noranda et à Val-d’Or, en raison de « la situation économique ». Yvon Moreau, le président du Syndicat des employé(e)s en communication de l’Abitibi-Témiscamingue, remet en cause la bonne foi de l’employeur.« L’encre de notre nouvelle convention collective est à […]

L’article Compressions chez RNC Média : l’employeur ne respecte pas la convention collective est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Le 22 août dernier, RNC Média annonçait la coupe de trois postes dans le secteur de la télévision à Rouyn-Noranda et à Val-d’Or, en raison de « la situation économique ». Yvon Moreau, le président du Syndicat des employé(e)s en communication de l’Abitibi-Témiscamingue, remet en cause la bonne foi de l’employeur.« L’encre de notre nouvelle convention collective est à peine sèche et on nous annonce ceci ! Comment ne pas douter de la bonne foi de l’employeur quand cela ne fait même pas deux mois que la convention est en vigueur et qu’on nous annonce des coupes basées sur les résultats financiers des six derniers mois ? L’employeur connaissait le portrait de la situation avant de signer la convention collective, mais il a laissé le syndicat réduire considérablement ses demandes afin de pouvoir boucler la négociation et il nous arrive avec ceci aujourd’hui. C’est faire preuve d’un grave manque de respect envers ses travailleuses et ses travailleurs », déplore M. Moreau.De plus, le président observe que l’employeur ne respecte pas les clauses de la convention collective qui encadrent les abolitions de postes pour raisons financières. « La convention prévoit que l’employeur doit convoquer le syndicat afin de lui faire part de l’information. Le syndicat a ensuite 15 jours pour consulter ses membres et soumettre d’autres solutions à l’employeur, comme des départs à la retraite anticipée, par exemple. S’ensuit un délai de 30 jours pour l’application des décisions. Comme RNC Média veut que les coupes soient effectives dès le 21 septembre, ces délais ne sont pas respectés. L’entreprise renie sa signature en agissant ainsi. Nous exigeons d’exercer notre droit de consultation de nos membres, et ce, dans les délais prescrits », continue M. Moreau.Pour Félix-Antoine Lafleur, président du Conseil central de l’Abitibi-Témiscamingue–Nord-du-Québec, la situation est inacceptable. « Dans la région, on connait les pratiques de RNC Média depuis longtemps. Une attitude comme celle-ci ne détonne pas ! Mais ce n’est pas parce qu’on les connait que c’est acceptable, surtout dans le contexte où la direction a voulu se “débarrasser” de cette annonce avant ses vacances, en refusant de rencontrer la totalité de l’exécutif du syndicat. Manque de respect, vous dites ? », martèle M. Lafleur.Annick Charette, présidente de la Fédération nationale des communications et de la culture, à laquelle est affiliée le Syndicat des employé(e)s en communication de l’Abitibi-Témiscamingue, conclut en rappelant qu’à l’heure actuelle, des régions entières sont déstabilisées et sur le point de se retrouver dans un désert d’informations locales. « C’est donc l’accès à une information rigoureuse, diversifiée et locale qui est compromis partout au Québec. Et quand on apprend que RNC Média lance la première émission de radio générée et animée par l’intelligence artificielle en Outaouais, là où ils ont justement annoncé d’autres coupes la semaine dernière, on est en droit d’être très très inquiets pour la suite des choses », termine Mme Charette.

L’article Compressions chez RNC Média : l’employeur ne respecte pas la convention collective est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Grève au festival de films Fantasia https://fncc.csn.qc.ca/2024/07/10/greve-au-festival-de-films-fantasia/ Wed, 10 Jul 2024 16:00:51 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3333 MONTRÉAL, le 10 juill. 2024 – Les travailleuses et travailleurs du festival de films Fantasia seront en grève demain jeudi afin d’amener l’employeur à considérer sérieusement les enjeux mis de l’avant à la table de négociation où il peine à offrir le salaire minimum à la soixantaine d’employé-es de l’édition 2024 du festival. « Fantasia […]

L’article Grève au festival de films Fantasia est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
MONTRÉAL, le 10 juill. 2024 – Les travailleuses et travailleurs du festival de films Fantasia seront en grève demain jeudi afin d’amener l’employeur à considérer sérieusement les enjeux mis de l’avant à la table de négociation où il peine à offrir le salaire minimum à la soixantaine d’employé-es de l’édition 2024 du festival.

« Fantasia veut maintenir notre statut de pigiste pour le festival de cette année, même si nous sommes syndiqués depuis septembre 2023. Le manque de préparation de l’employeur depuis près d’un an à la table de négo est extrêmement décevant », affirme Justine Smith, qui fait partie du comité de négociation du Syndicat des employé-es de l’événementiel-CSN, section Fantasia. Un piquet de grève sera donc en place demain le 11 juillet en face des bureaux du 1455 boulevard De Maisonneuve Ouest, à Montréal. Le syndicat de Fantasia, comme deux autres syndicats de festivals, celui de La Fondation Québec Cinéma et celui du Festival du nouveau cinéma (FNC) qui eux ont déjà conclu leurs premières conventions collectives font partie du Syndicat des employé-es de l’événementiel-CSN.

Le syndicat souhaite conclure une entente de principe à la table de négociation dans les meilleurs délais afin bonifier les conditions de travail actuelles des employé-es syndiqué-es et ainsi éviter que la grève se poursuive pendant le festival qui débute le 18 juillet. D’autres jours de grève pourraient donc suivre la semaine prochaine si les pourparlers n’avancent pas de façon satisfaisante. Les membres du syndicat avaient voté à l’unanimité pour cinq jours de grève à exercer au moment opportun en juin dernier.

Un mouvement dans le milieu culturel
« Comme beaucoup de travailleurs du monde culturel, les employé-es de l’événementiel souhaitent se syndiquer parce qu’ils et elles revendiquent de meilleures conditions de travail nommément d’être reconnus comme des travailleurs à part entière et être rémunérés pour toutes les heures travaillés, comme tout le monde qui doit payer son loyer et son épicerie. Et, cessez d’être traités comme de simples pigistes desquels on peut toujours exiger plus de travail pour une même somme forfaitaire initiale », constate Annick Charette, présidente de la FNCC-CSN.

« La CSN tient à défendre les droits des travailleuses et travailleurs du milieu culturel qui ont trop longtemps été laissés à eux-mêmes avec des conditions de travail très inégales, précaires et parfois même illégales. Le salaire minimum est déjà nettement insuffisant. On lutte pour l’augmenter de façon importante. C’est inconcevable de penser que certains n’obtiennent même pas 15, 75 $ l’heure », ajoute François Enault, 1er vice-président de la CSN.

À propos de Fantasia
Fondé en 1996, le festival Fantasia célèbre cette année sa 27e édition. Avec un public estimé depuis 2016 à plus de 100 000 visiteurs, il a contribué à populariser des films indépendants « anti-Hollywood » de genres aussi divers que la science-fiction, le fantastique, la comédie ou le film d’action. Le festival a fait connaitre de nouveaux talents venus du monde entier.

À propos de la FNCC-CSN
La FNCC-CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats oeuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

À propos de la CSN
Fondée en 1921, la CSN est la première grande centrale syndicale québécoise. Composée de près de 1 600 syndicats, elle défend plus de 330 000 travailleuses et travailleurs de tous les secteurs d’activité et prend part à plusieurs débats de fond de la société québécoise pour une société plus solidaire, démocratique, équitable et durable.

L’article Grève au festival de films Fantasia est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Mairie de GatineauLa survie de l’information locale doit être abordée par le Conseil municipal https://fncc.csn.qc.ca/2024/06/14/mairie-de-gatineaula-survie-de-linformation-locale-doit-etre-abordee-par-le-conseil-municipal/ Fri, 14 Jun 2024 05:00:31 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3306 Vendredi 14 juin 2024 – Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais (CCSNO–CSN) et la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) félicitent Madame Maude Marquis-Bissonnette pour son élection à titre de mairesse de Gatineau. « Pendant la campagne électorale, nous avons interpellé tous les candidats afin qu’ils s’engagent à œuvrer pour la […]

L’article Mairie de Gatineau</br>La survie de l’information locale doit être abordée par le Conseil municipal est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>

Vendredi 14 juin 2024 – Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais (CCSNO–CSN) et la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) félicitent Madame Maude Marquis-Bissonnette pour son élection à titre de mairesse de Gatineau. « Pendant la campagne électorale, nous avons interpellé tous les candidats afin qu’ils s’engagent à œuvrer pour la préservation de l’information locale, mise en danger par la crise des médias. Mme Marquis-Bissonnette s’était engagée en ce sens. Maintenant qu’elle est mairesse, nous lui demandons de mettre la question de la préservation de l’information locale à l’ordre du jour du conseil municipal dès que possible », déclare Alfonso Ibarra Ramirez, président du CCSNO–CSN.

 

La présidente de la FNCC–CSN, Annick Charette, souligne que pour les communautés, l’information locale constitue un bien public. « Nous avons lancé une campagne sur cette question le printemps dernier. Il est impératif de sauver notre droit à l’information, menacé par la fermeture de médias et la réduction des couvertures locales. Devant cette situation, les divers paliers de gouvernement doivent mieux soutenir les médias. Nous proposons des solutions faciles à mettre en œuvre pour un gouvernement local. Se doter d’une politique gouvernementale d’achat publicitaire, visant à se procurer des publicités auprès des médias locaux et non auprès des géants du Web, est notamment une mesure que peut mettre en place une administration municipale », expose Mme Charette.

Les deux organisations feront un suivi sur cette question avec le cabinet de Mme Marquis-Bissonnette dans les prochaines semaines.

-30-

À propos

Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais–CSN
Le CCSNO–CSN regroupe plus de 11 500 travailleuses et travailleurs œuvrant dans l’ensemble des secteurs d’activité de la région.

La Fédération nationale de la culture et des communications–CSN
La FNCC–CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

L’article Mairie de Gatineau</br>La survie de l’information locale doit être abordée par le Conseil municipal est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise:Une occasion à ne pas manquer https://fncc.csn.qc.ca/2024/06/10/groupe-de-travail-sur-lavenir-de-la-production-televisuelle-et-cinematographique-quebecoiseune-occasion-a-ne-pas-manquer/ Mon, 10 Jun 2024 18:33:56 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3285 Lundi 10 juin 2024 – La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) salue la création du Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise, annoncée par le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe. « Il y a du pain sur la planche ! Cela fait longtemps que […]

L’article Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise:</br>Une occasion à ne pas manquer est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>

Photo: Simon Seguin-Bertrand

Lundi 10 juin 2024 – La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) salue la création du Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise, annoncée par le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe.
« Il y a du pain sur la planche ! Cela fait longtemps que nous tirons la sonnette d’alarme sur la place de la production télévisuelle et cinématographique spécifiquement québécoise. L’écosystème se transformant à vitesse grand V avec la place grandissante des plateformes. Il faut agir rapidement avant que nos productions disparaissent. La FNCC–CSN compte bien contribuer à cet exercice important en partageant nos analyses avec le groupe de travail », déclare Annick Charette, présidente de la FNCC-CSN.

-30-

À propos
La FNCC-CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

L’article Groupe de travail sur l’avenir de la production télévisuelle et cinématographique québécoise:</br>Une occasion à ne pas manquer est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
La Fédération nationale des communications et de la culture et la Fédération des chambres de commerce du Québec font cause commune https://fncc.csn.qc.ca/2024/06/06/la-federation-nationale-des-communications-et-de-la-culture-et-la-federation-des-chambres-de-commerce-du-quebec-font-cause-commune/ Thu, 06 Jun 2024 05:00:43 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3231 En raison de la crise des médias que vit le Québec depuis plusieurs années, l’information de qualité, notamment l’information locale, est en danger. Nos deux organisations font cause commune afin d’appeler les gouvernements et les communautés à se mobiliser pour renverser la tendance. De quelle crise parle-t-on? Les médias d’information sont confrontés à des difficultés […]

L’article La Fédération nationale des communications et de la culture et la Fédération des chambres de commerce du Québec font cause commune est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
En raison de la crise des médias que vit le Québec depuis plusieurs années, l’information de qualité, notamment l’information locale, est en danger. Nos deux organisations font cause commune afin d’appeler les gouvernements et les communautés à se mobiliser pour renverser la tendance.

Photo: Simon Séguin-Bertrand

De quelle crise parle-t-on?
Les médias d’information sont confrontés à des difficultés financières liées à des baisses importantes de leurs revenus publicitaires, en grande partie car les annonceurs se tournent vers les plateformes étrangères des géants du Web. L’argent de la publicité est ainsi capté par ces derniers et ne finance plus le maintien de nos entreprises médiatiques. Le résultat est que les compressions de personnel, la fermeture ou bien la faillite de médias d’information font trop souvent les manchettes. C’est donc l’accès à une information rigoureuse, diversifiée et locale qui est compromis partout au Québec.

Devant cette crise, nos gouvernements doivent mieux soutenir nos médias d’information. La FNCC a lancé l’hiver dernier la campagne « L’information, un bien public », qui met de l’avant des solutions structurantes à cette crise qui perdure. La FCCQ a fait des recommandations allant dans le même sens en vue des budgets présentés ce printemps par les deux paliers de gouvernement. Ceux-ci peuvent facilement mettre en œuvre plusieurs de ces solutions.

 

L’argent, le nerf de la guerre
Les ministères et les organismes publics dépensent des sommes importantes en campagnes publicitaires. Dans le contexte de crise que l’on connait, ils devraient donner l’exemple et soutenir les canaux publicitaires qui contribuent directement à la vitalité de nos salles de rédaction.

De plus, les annonceurs du secteur privé devraient pouvoir bénéficier d’incitatifs afin d’y revenir. Ceux qui n’y ont jamais acheté de publicités aussi. Un incitatif simple ?  Doubler la déduction d’impôt déjà existante pour les achats publicitaires auprès d’un média d’information.

Autre solution : le crédit d’impôt à la masse salariale des médias d’information créé il y a quelques années devrait être élargi, en l’étendant aux salles de rédaction radio et télé.  Il ne devrait pas y avoir de distinction : tous les emplois journalistiques contribuent à la vie démocratique des différents régions du Québec et tous devraient donc bénéficier du même avantage fiscal.

Les villes à la rescousse de l’information locale
Les médias d’information contribuent au rayonnement des entreprises d’une région, favorisent la création de liens entre une municipalité et ses résident-es et participent à la vitalité des communautés. À l’heure actuelle, des régions entières sont déstabilisées et sur le point de se retrouver dans un désert d’informations locales. Il est dans l’intérêt de tous de soutenir ce bien commun qu’est l’information locale, régionale et nationale. C’est pourquoi nous invitons les municipalités du Québec à adopter la déclaration « Ma ville appuie l’information locale », une déclaration de principe dans laquelle elles s’engagent à adopter des gestes concrets pour favoriser la distribution et le rayonnement des médias de leur territoire.

Il est impératif que toutes et tous, nous nous mobilisions pour sauver notre droit à l’information. Cela nous concerne tous.

Annick Charrette
Présidente
Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC-CSN)

Philippe Noël
Vice-président – Affaires publiques et économiques
Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ)

L’article La Fédération nationale des communications et de la culture et la Fédération des chambres de commerce du Québec font cause commune est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
La FNCC demande aux services de diffusion continue en ligne de se conformer https://fncc.csn.qc.ca/2024/06/05/la-fncc-demande-aux-services-de-diffusion-continue-en-ligne-de-se-conformer/ Wed, 05 Jun 2024 13:06:07 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3236 Montréal, le 4 juin 2024 – La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) salue la mise en place par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d’une contribution obligatoire pour les services de diffusion continue en ligne de 5 % de leurs revenus canadiens au système de radiodiffusion canadien. « Il était […]

L’article La FNCC demande aux services de diffusion continue en ligne de se conformer est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Montréal, le 4 juin 2024 – La Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) salue la mise en place par le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) d’une contribution obligatoire pour les services de diffusion continue en ligne de 5 % de leurs revenus canadiens au système de radiodiffusion canadien. « Il était plus que temps que cela advienne. Tout le monde, et cela inclut les services de diffusion continue en ligne, doit contribuer à la vitalité de notre écosystème de production au même titre que nos diffuseurs traditionnels. Nous espérons que les services de diffusion continue en ligne se conformeront à cette décision du CRTC », déclare Annick Charette, présidente de la FNCC–CSN.

Depuis le début des discussions politiques sur ces questions, la FNCC a toujours défendu la nécessité de soumettre les entreprises étrangères aux mêmes impératifs de participation au financement de production et de diffusion de contenus que toute entreprise canadienne soumise à la législation. « Nous sommes particulièrement satisfaits de l’apport que cette contribution amènera à la production québécoise et aux télédiffuseurs d’ici, comme Radio-Canada, Télé-Québec, TVA, Noovo, etc. Nous le savons, la production distincte québécoise francophone doit, tout comme le contenu original canadien, être soutenue et valorisée dans cette compétition mondiale inéquitable, notamment entretenue par les services de diffusion continue en ligne, à qui on abandonne de trop grands pouvoirs.  Cette contribution les forcera à se plier à nos règles nationales et permettra de soutenir les artistes et artisans québécois en leur offrant un meilleur appui et en assurant le rayonnement de leur talent », continue Mme Charette.

Dans la foulée, Mme Charette souligne aussi la création d’un fonds temporaire pour soutenir la production de nouvelles locales par des stations de radio commerciales situées à l’extérieur des grands centres urbains. « Nous avons lancé l’hiver dernier la campagne L’information, un bien public, qui met de l’avant des solutions structurantes pour mieux appuyer les médias d’information. Ces derniers sont grandement affaiblis dans leur capacité à répondre à leur mission en raison de l’effritement de leurs ressources. Cette situation est particulièrement dangereuse pour les médias qui se consacrent à l’information locale. La création de ce fonds est un appel d’air, mais ne devrait pas être temporaire », enchaîne-t-elle.

Mme Charette termine en demandant au CRTC d’être intransigeant dans l’application de cette décision. « Les géants du Web qui constituent les services de diffusion continue en ligne doivent se conformer à cette décision. S’ils rechignent à la respecter, le CRTC devra intervenir », conclut la présidente.

-30-

À propos

La FNCC–CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

 

Pour information :
Eve-Marie Lacasse
514 809-7940
eve-marie.lacasse@csn.qc.ca

 

 

 

L’article La FNCC demande aux services de diffusion continue en ligne de se conformer est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Consensus des candidates et candidats sur la nécessaire action de la Ville pour préserver l’information locale https://fncc.csn.qc.ca/2024/05/31/consensus-des-candidates-et-candidats-sur-la-necessaire-action-de-la-ville-pour-preserver-linformation-locale/ Fri, 31 May 2024 11:00:43 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3224 Gatineau, le 31 mai 2024 – Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais–CSN et la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) ont interpellé les candidates et les candidats à la mairie de Gatineau afin qu’ils s’engagent, s’ils sont élus, à ce que la Ville de Gatineau joue un rôle de premier plan […]

L’article Consensus des candidates et candidats sur la nécessaire action de la Ville pour préserver l’information locale est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>

Photo: Simon Séguin-Bertrand

Gatineau, le 31 mai 2024 – Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais–CSN et la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN) ont interpellé les candidates et les candidats à la mairie de Gatineau afin qu’ils s’engagent, s’ils sont élus, à ce que la Ville de Gatineau joue un rôle de premier plan pour préserver l’information locale dans un contexte de crise des médias.

« Les sept candidates et candidats ont tous affirmé vouloir agir pour la protection des médias locaux, s’ils étaient élus. La personne qui occupera le plus haut siège de la Ville devra livrer la marchandise au lendemain de l’élection, car la situation est inquiétante », déclare Alfonso Ibarra Ramirez, président du Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais–CSN.

La FNCC–CSN a lancé l’hiver dernier la campagne L’information, un bien public, qui met de l’avant des solutions structurantes pour mieux appuyer les médias d’information. « Bousculés par l’arrivée des géants du Web, on ne compte plus les réductions de personnel, les faillites et les fermetures de médias. Ces derniers sont grandement affaiblis dans leur capacité à répondre à leur mission en raison de l’effritement de leurs ressources. Malgré cela, c’est avec un professionnalisme incontestable que les travailleuses et les travailleurs de l’information effectuent leur travail. Cette situation est particulièrement dangereuse pour les médias qui se consacrent à l’information locale », remarque Annick Charette, présidente de la FNCC–CSN, qui regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture.

Monsieur Ibarra Ramirez souligne que les médias sont une composante essentielle et un rouage indispensable pour la vitalité des régions. « Qui parlera de la politique locale, de la culture, des sports, des actions communautaires, des investissements et du développement économique de la région si aucun média ancré dans la communauté n’existe ? Les grands médias nationaux vont-ils s’intéresser à ce qui se passe dans les villes où ils n’ont pas pignon sur rue, si la nouvelle n’est pas d’intérêt national ? Qui effectuera le travail en français si Le Droit disparait ? Ces enjeux sont des questions cruciales qui doivent préoccuper le prochain maire ou la prochaine mairesse », enchaîne Monsieur Ibarra Ramirez.

« L’information locale est trop importante pour qu’on la laisse disparaitre. C’est pourquoi il est important que les élu-es municipaux placent le soutien aux médias locaux à l’ordre du jour des discussions municipales, notamment en proposant l’adoption d’une déclaration de principes forte pour les soutenir », termine Mme Charette.

-30-

À propos

Le Conseil central des syndicats nationaux de l’Outaouais–CSN
Le CCSNO–CSN regroupe plus de 11 500 travailleuses et travailleurs œuvrant dans l’ensemble des secteurs d’activité de la région.

La Fédération nationale de la culture et des communications
La FNCC–CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

Pour information :
Eve-Marie Lacasse
514 809-7940
eve-marie.lacasse@csn.qc.ca

 

L’article Consensus des candidates et candidats sur la nécessaire action de la Ville pour préserver l’information locale est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Compression de personnel au Réseau des sports:Les membres du SERDS n’ont pas confiance en Bell Média https://fncc.csn.qc.ca/2024/05/08/compression-de-personnel-au-reseau-des-sportsles-membres-du-serds-nont-pas-confiance-en-bell-media/ Wed, 08 May 2024 17:13:04 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=3012 Montréal, le 8 mai 2024 – Devant l’intention de Bell Média de supprimer entre 25 et 35 postes du département de la technique du Réseau des sports (RDS), le Syndicat des employé-es du Réseau des sports, section technique (SERDS–CSN) a réuni ses membres hier en assemblée générale afin de discuter avec eux des options sur la table. […]

L’article Compression de personnel au Réseau des sports:<br>Les membres du SERDS n’ont pas confiance en Bell Média est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
Montréal, le 8 mai 2024 – Devant l’intention de Bell Média de supprimer entre 25 et 35 postes du département de la technique du Réseau des sports (RDS), le Syndicat des employé-es du Réseau des sports, section technique (SERDS–CSN) a réuni ses membres hier en assemblée générale afin de discuter avec eux des options sur la table.

« Près des deux tiers de nos membres étaient présents. Ils sont en colère et surtout, ils ont l’impression d’être forcés de jouer dans un film dont le scénario était écrit il y a longtemps, sans qu’ils n’aient pu participer à la scénarisation », déplore Maryse Lauzier, présidente du syndicat.

Les membres ont voté à 65 % en faveur de discussion avec l’employeur afin de tenter de limiter le plus possible les dégâts. « Notre convention collective a seulement un an et demi. Et nous avions obtenu la création de 25 nouveaux postes. Aujourd’hui, on nous dit qu’on doit abolir au minimum 25 postes ! Nos membres nous ont donné le mandat d’aller nous asseoir avec l’employeur afin de trouver d’autres solutions pour tenter de réduire les abolitions de postes, mais ils ne sont pas dupes. Bell Média savait ce qui s’en venait depuis longtemps et il est maintenant clair que l’entreprise n’avait pas l’intention de respecter la convention collective », poursuit-elle.

La présidente de la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Caroline Senneville, a un message pour la direction de Bell Média : « Cessez d’agir dans l’ombre et soyez transparents. Vous dites à vos employé-es, depuis des années, qu’une restructuration majeure est en chantier. Or, vous refusez de donner plus de détails sur cette restructuration et de répondre aux questions à ce propos, ce qui justifie leur manque de confiance. Cela génère du stress et de la confusion, ce qui nuit au climat de travail et à la santé mentale des salarié-es. »

Pour Annick Charette, présidente de la Fédération nationale des communications et de la Culture (FNCC–CSN), il est plus que temps que les gouvernements s’activent pour stopper l’hémorragie dans le monde des médias. « Ça n’arrête pas, les annonces de compression de personnel. Aujourd’hui, c’est RDS. Demain, ce sera qui ? On sait qu’une des causes de cette situation est la perte de revenus publicitaires des grands médias puisque ce sont les plateformes numériques étrangères qui accaparent maintenant ces revenus. Les ministères et les organismes publics dépensent des sommes astronomiques en campagnes publicitaires. Comment se fait-il qu’ils leur achètent encore de l’espace publicitaire ? Nos fonds publics devraient servir à soutenir nos salles de rédaction ! Des politiques gouvernementales d’achat publicitaire local et responsable permettraient d’éviter la suppression de postes chez RDS », remarque Madame Charette.

 

-30-

À propos

Le SERDS
Le Syndicat des employé-es du Réseau des sports, section technique (SERDS) regroupe 180 techniciennes et techniciens du Réseau de sports. Il est affilié à la FNCC-CSN. 

La FNCC-CSN
La FNCC-CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec.

La CSN
Fondée en 1921, la CSN est une organisation syndicale qui œuvre pour une société solidaire, démocratique, juste, équitable et durable. À ce titre, elle s’engage dans plusieurs débats qui intéressent la société québécoise. Elle regroupe plus de 330 000 travailleuses et travailleurs réunis sur une base sectorielle ou professionnelle dans huit fédérations, ainsi que sur une base régionale dans 13 conseils centraux, principalement sur le territoire du Québec.

Pour information :
Eve-Marie Lacasse, 514 809-7940

L’article Compression de personnel au Réseau des sports:<br>Les membres du SERDS n’ont pas confiance en Bell Média est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>
L’UNEQ s’affilie à la CSN https://fncc.csn.qc.ca/2024/05/06/luneq-saffilie-a-la-csn/ Mon, 06 May 2024 19:01:14 +0000 https://fncc.csn.qc.ca/?p=2858 C’est dans une proportion de 82 % que les membres de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) ont fait le choix de s’affilier à la CSN et à la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN). Réunis en assemblée générale à Montréal, à Québec et en virtuel samedi, les membres de l’UNEQ […]

L’article L’UNEQ s’affilie à la CSN est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>

C’est dans une proportion de 82 % que les membres de l’Union des écrivaines et des écrivains québécois (UNEQ) ont fait le choix de s’affilier à la CSN et à la Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN). Réunis en assemblée générale à Montréal, à Québec et en virtuel samedi, les membres de l’UNEQ ont ainsi donné leur aval à cette proposition émanant du conseil d’administration de l’UNEQ, au terme d’une tournée de consultations effectuée plus tôt cette année.

« On est très heureux du résultat, s’est réjoui le président de l’UNEQ, Pierre-Yves Villeneuve. En approuvant l’affiliation avec la FNCC–CSN, les écrivaines et les écrivains se dotent d’outils qui vont permettre à l’UNEQ de remplir son mandat syndical. Cela montre aussi leur détermination à amorcer les négociations visant à établir les premières ententes collectives dans le secteur de l’édition. La route est encore longue, mais cette décision rapproche l’UNEQ de son objectif de mieux encadrer les pratiques de travail des artistes de la littérature et d’améliorer leurs conditions socio-économiques. »

En modifiant la loi sur le statut de l’artiste, en juin 2022, l’Assemblée nationale a octroyé pour la première fois aux écrivaines et aux écrivains québécois le droit à la négociation collective, un droit constitutionnel dont ils étaient jusqu’alors privés. Cette réforme faisait suite aux pressions exercées par une vaste coalition d’associations d’artistes et de travailleuses et de travailleurs du milieu culturel, dont l’UNEQ et la FNCC–CSN.

Avant d’entreprendre ces négociations, l’UNEQ procèdera prochainement à une vaste consultation de ses membres en vue d’établir leurs priorités de négociations. Une fois adoptés en assemblée générale, ces cahiers de revendications seront déposés auprès des groupes d’éditeurs œuvrant au Québec.

« Nous connaissons tous la très grande précarité financière dans laquelle une vaste majorité d’écrivaines et d’écrivains sont confinés, d’affirmer la présidente de la FNCC–CSN, Annick Charette. Il est temps de mettre en place les conditions leur permettant de créer librement tout en gagnant leur vie dignement. »

« C’est tout le mouvement CSN qui se réjouit aujourd’hui d’accueillir les membres de l’UNEQ, a pour sa part souligné la présidente de la centrale syndicale, Caroline Senneville. Les écrivaines et écrivains du Québec pourront non seulement compter sur notre expertise de négociation et de mobilisation, ils pourront également compter sur l’appui et la solidarité de nos 330 000 membres. »

Fondée en 1977, l’UNEQ est un syndicat professionnel qui œuvre à valoriser la littérature québécoise et à défendre les droits socioéconomiques des artistes de la littérature. Elle regroupe aujourd’hui près de 1800 membres représentant toutes les pratiques littéraires.

La FNCC–CSN regroupe 6000 membres dans 80 syndicats œuvrant dans les domaines des communications, du journalisme et de la culture. Elle est l’une des huit fédérations de la CSN qui réunit près de 330 000 travailleuses et travailleurs des secteurs public et privé, et ce, dans l’ensemble des régions du Québec et ailleurs au Canada.

L’article L’UNEQ s’affilie à la CSN est apparu en premier sur Fédération nationale des communications et de la culture (FNCC–CSN).

]]>